Chambord – son jardin du mois de mai, merci Stephen Schwarzman !
Chambord – son jardin du mois de mai : photo du jardin du château de Chambord illustrée par une chanson de Charles Trénet.
Chambord – son jardin du mois de mai : photo du jardin du château de Chambord illustrée par une chanson de Charles Trénet.
Photographies d’automne réalisées sur la Canal de l’Ourcq illustrées par une sublime poésie de Claude Roy intitulée Météorologie… Enjoy !
Cinemagraphs ou gif animé d’une journée de vacances sur une plage bretonne illustrée par une très belle poésie de Emile Blémont intitulée sur la plage… Enjoy !
Petit air de campagne en conserve pour ce dimanche après midi avec une photo du Mont-Saint-Michel illustrée par une très jolie poésie de Jacques Charpentreau.
Photographie de l’Oeil de Londres by night accompagnée d’une PoéBUZIE (contraction de Poésie et de Buzz)…
Selon le huffingtonpost.fr, ce poème fait le buzz sur le net. Sa particularité ? C’est un poème qui peut se lire du début à la fin comme de la fin au début ou à l’endroit comme à l’envers avec la particularité de livrer un message pessimiste à l’endroit et optimiste à l’envers… Lisez le ! Le résultat est spectaculaire !
Photopoésie dédiée à tous les migrants… Selon l’Organisation internationale pour les migrations, environ 1 770 hommes, femmes et enfants sont morts ou disparus en tentant la traversée de la Méditerranée depuis le nord de l’Afrique et le Proche-Orient.
Photopoesie composée d’une photographie d’un coucher de soleil en Italie accompagnée par une magnifique poésie de Charles Baudelaire intitulée Harmonie du soir.
Pour cette 150 ième photopoésie, je vous propose une photopoésie du paradis avec une photo d’un bord de mer en Sicile accompagnée d’une magnifique poésie de Jocelyne Curtil intitulée « Je me cache dans les bagages du soleil »… Enjoy !!!
Crépuscule là-bas sur la mer… : Photographie d’un crépuscule sur la mer Sicilienne accompagnée d’une splendide poésie de Jacques Madeleine intitulée « Là-bas ».
Le cheval libre :Photographie d’un cheval dans la campagne normande illustrée par un poème, intitulé le cheval libre, de Winston Perez.