Irish Pubs et musique Irlandaise

Photographie du comptoir d'un bar Irlandais (Irish Pubs) par RR Kebbi

Irish pubs et musique Irlandaise : ca manque de vie et de festivité en ce moment ! Petite balade Irlandaise pleine d’humour et d’auto dérision…

Irish Pub : Seven Drunken Nights

The name of this song is « The Seven Drunken Nights »

But we’re only allowed to sing five of them, so here goes

Oh, as I went home on Monday night as drunk as drunk could be

I saw a horse outside the door where my old horse should be
Well, I called me wife and I said to her, « Will you kindly tell to me »
« Who owns that horse outside the door where my old horse should be? »

Ah, you’re drunk. You’re drunk you silly old fool.

Still you can not see. That’s a lovely sow that me mother sent to me

Well, it’s many a day I’ve travelled a hundred miles or more
But a saddle on a sow sure I never saw before

 

And as I went home on Tuesday night as drunk as drunk could be

I saw a coat behind the door where my old coat should be

Well, I called me wife and I said to her, « Will you kindly tell to me »
« Who owns that coat behind the door where my old coat should be? »

Ah, you’re drunk. You’re drunk you silly old fool.

Still you can not see.
That’s a woollen blanket that me mother sent to me
Well, it’s many a day I’ve travelled a hundred miles or more
But buttons in a blanket sure I never saw before

 

And as I went home on Wednesday night as drunk as drunk could be

I saw a pipe up on the chair where my old pipe should be
Well, I called me wife and I said to her, « Will you kindly tell to me »
« Who owns that pipe up on the chair where my old pipe should be? »

Ah, you’re drunk. You’re drunk you silly old fool.

Still you can not see.
That’s a lovely tin whistle that me mother sent to me
Well, it’s many a day I’ve travelled a hundred miles or more
But tobacco in a tin whistle sure I never saw before

And as I went home on Thursday night as drunk as drunk could be

I saw two boots beneath the bed where my old boots should be
Well, I called me wife and I said to her, « Will you kindly tell to me »
« Who owns that pipe up on the chair where my old pipe should be? »

Ah, you’re drunk. You’re drunk you silly old fool.

Still you can not see.
They’re two lovely Geranium pots me mother sent to me
Well, it’s many a day I’ve travelled a hundred miles or more
But laces in Geranium pots I never saw before

And as I went home on Friday night as drunk as drunk could be

I saw a head upon the bed where my old head should be
Well, I called me wife and I said to her, « Will you kindly tell to me »
« Who owns that pipe up on the chair where my old pipe should be? »

Ah, you’re drunk. You’re drunk you silly old fool.

Still you can not see
That’s a baby boy that me mother sent to me
Well, it’s many a day I’ve travelled a hundred miles or more
But a baby boy with his whiskers on sure I never saw before

Album : An Hour With The Dubliners

Traduction française Irish Pub : Sept nuits d’ivresse

Le nom de cette chanson est « Les sept nuits d’ivresse ».

Mais nous ne sommes autorisés à en chanter que cinq, alors allons-y.

Oh, quand je suis rentré chez moi lundi soir, aussi ivre qu’on puisse l’être.

J’ai vu un cheval devant la porte, là où mon vieux cheval devait être.

J’ai appelé ma femme et je lui ai dit : « Aurais-tu l’obligeance de me dire ? »

« À qui appartient ce cheval devant la porte, là où mon vieux cheval devrait être ? »

Ah, tu es ivre. Tu es ivre, vieux schnock !

Tu ne peux même pas voir. C’est une belle truie que ma mère m’a envoyée.

J’ai voyagé des centaines de kilomètres et bien plus encore.

Mais une selle sur une truie, je n’en ai jamais vu avant.

 

Et quand je suis rentré chez moi le mardi soir, aussi ivre qu’on puisse l’être.

J’ai vu un manteau accroché à la porte, là où mon vieux manteau devrait être.

J’ai appelé ma femme et je lui ai dit : « Aurais-tu la gentillesse me dire ? »

« À qui appartient ce manteau accroché à la porte, là où mon vieux manteau devrait être ?

Ah, tu es ivre. Tu es ivre, vieux schnock !

Tu ne peux même pas voir. C’est une couverture en laine que ma mère m’a envoyée.

J’ai voyagé des centaines de kilomètres et bien plus encore.

Et pourtant je n’avais encore  jamais vu de boutons sur une  couverture en laine.

 

Et quand je suis rentré chez moi le mercredi soir, aussi ivre qu’on puisse l’être.

J’ai vu une pipe sur la chaise, là où ma vieille pipe devrait être.

J’ai appelé ma femme et je lui ai dit : « Aurais-tu l’obligeance me dire ? »

« A qui appartient cette pipe sur la chaise, là où ma vieille pipe devrait être ? »

Ah, tu es ivre. Tu es ivre, vieux schnock !

Tu ne peux même pas voir. C’est une jolie flûte que ma mère m’a envoyé.

J’ai voyagé des centaines de kilomètres et bien plus encore.

Et pourtant je n’avais encore jamais vu de tabac dans une flûte.

 

Et en rentrant chez moi jeudi soir, aussi ivre qu’on puisse l’être.

J’ai vu deux bottes sous le lit, là où mes mes vieilles bottes devaient être.

J’ai appelé ma femme et je lui ai dit : « Aurais-tu l’obligeance me dire ? »

« A qui appartiennent ces bottes sous le lit, là où mes vielles bottes devaient être » ?

Ah, tu es ivre. Tu es ivre, vieux schnock !

Tu ne peux même pas voir. Ce sont deux jolis pots de géraniums que ma mère m’a envoyés.

J’ai voyagé des centaines de kilomètres et bien plus encore.

Mais je n’ai jamais vu de lacets sur des pots de géraniums.

 

Et en rentrant chez moi le vendredi soir, aussi ivre qu’on puisse l’être.

J’ai vu une tête dans le lit, là où ma vieille tête devrait être.

J’ai appelé ma femme et je lui ai dit : « Aurais-tu l’obligeance me dire ? »

« À qui appartient cette tête dans le lit, là où ma vieille tête devait être ? »

Ah, tu es ivre. Tu es ivre, vieux schnock !

Tu ne peux même pas voir. C’est un petit garçon que ma mère m’a envoyé.

J’ai voyagé des centaines de kilomètres et bien plus encore.

Et pourtant je n’avais encore jamais vu de bébé portant la moustache !

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